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Péchés capitaux un jour, plaisirs toujours

10 juillet 2020
Catalogués sous la célèbre étiquette des «7 péchés capitaux», la gourmandise, la paresse, l’orgueil, l’avarice, la luxure, l’envie ou encore la colère n'en forment pas pour autant les péchés les plus graves, contrairement à ce que son nom pourrait laisser à penser.

Mais que représentent-ils vraiment, et qu'en est-il de la notion de faute dans les autres religions? Mais aussi: comment se sont-ils transformés en vertus publics à l'ère du capitalisme, et quels sont aujourd'hui les nouveaux interdits moraux de notre société sécularisée? Eléments de réponses avec notre petite histoire des péchés capitaux en quatre épisodes.
©istock/stock_colors
Luxure, paresse ou encore gourmandise, les péchés capitaux engendrent la culpabilité. Et s’ils avaient été mal compris? (1/4)
13 juillet 2020
Pixabay
Le péché est une notion commune aux monothéismes. Condition humaine, transgression pardonnée, les théologies diffèrent, mais le croyant n’échappe pas à l’erreur. (2/4)
13 juillet 2020
IStock
Gourmandise, luxure, convoitise... Autrefois décriés par la morale catholique comme vices suprêmes, les péchés capitaux sont devenus les meilleurs alliés du libéralisme, accédant au statut de véritables vertus nécessaires à son développement. (3/4)
10 juillet 2020
IStock
Si les péchés capitaux (gourmandise, luxure, paresse...) sont devenus à l’heure actuelle plus attrayants que condamnables, il n’en demeure pas moins que notre société répond à toute une série de nouveaux interdits. Quels sont-ils, et par qui sont-ils dictés? Éléments de réponse.(4/4)
10 juillet 2020